Récompenser un artiste sur scène, là où il brille, est la meilleure manière de célébrer son mérite et son engagement. La scène est le champ de bataille de L’Oiseau Rare, et c’est là qu’il a reçu, avec fierté et émotion, les documents attestant de sa nationalité gabonaise. Cet acte public est un symbole fort : il montre que le Gabon reconnaît ceux qui le représentent valablement et fièrement. Et vous, critiques éternels, qu’apportez-vous au Gabon à part des injures et des critiques stériles ? Vous passez plus de temps à dénigrer qu’à agir pour le bien de votre propre pays.

Depuis 2009, vous avez critiqué et insulté Ali Bongo, l’accusant d’être un étranger et d’avoir volé les élections. Aujourd’hui, vous faites de même avec les nouveaux dirigeants, qui ont pourtant pris des risques énormes pour libérer le pays de la dictature de Noureddin et Sylvia Bongo Valentin. Pensez-vous que les militaires auraient dû vous laisser continuer à subir un régime qui vous opprimait ? Grâce à leur courage, Ali Bongo n’est plus au pouvoir. Pourtant, au lieu de montrer de la gratitude, vous répondez par des critiques et des injures.

Vous, activistes de la diaspora, qui prétendez vouloir le changement, où êtes-vous ? Lorsque les militaires vous ont invité à revenir contribuer au développement du pays, vous avez refusé. La vérité est que votre problème n’est pas avec les dirigeants : vous n’aimez pas votre pays. Alors, lorsque des gens comme L’Oiseau Rare montrent leur amour pour le Gabon et reçoivent une reconnaissance méritée, acceptez-le. Ce n’est pas en critiquant que le Gabon avancera, mais en soutenant ceux qui œuvrent pour son rayonnement.

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